Contexte :

Une première expérimentation d’enquête collective sur les rives de l’étang de Berre, emmenée en 2019 par le Bureau des guides, a permis l’émergence d’un groupement de partenaires mobilisés autour de l’observation de la lagune (Bureau des Guides, Université de Nîmes, INRAE de Montpellier et Institut écocitoyen de Fos). Ensemble, ils conduisent aujourd’hui une recherche action participative- artistique et scientifique - sur les déchets plastiques.

Le projet Laboratoire Plastique de Pamparigouste articule une étude chimique des transferts, échanges et déplacements des plastiques dans l’étang de Berre ; une expérience artistique pour compléter nos connaissances du milieu lagunaire par l'expérience sensible et l’imaginaire ; une enquête sociologique destinée à mieux comprendre les attachements locaux aux plastiques et les tentatives de s’en défaire grâce notamment à des démarches de science-action participative. 

Il s’agit tout autant de produire des connaissances sur le problème de la dissémination des plastiques que de réfléchir collectivement aux moyens à mettre en œuvre pour créer les conditions d’une recherche transdisciplinaire sobre.

https://bureaudesguides-gr2013.fr/laboratoire-plastique/

Objectif du stage : contribution aux enquêtes sociologiques

 

Description du stage :

  • Enquête sociologique qualitative auprès d’acteurs locaux engagés sur la question des pollutions de l’étang de Berre dont celle générée par les plastiques. Une dizaine d’entretiens seront menés sous la supervision des encadrants du stagiaire lesquels viseront principalement des acteurs associatifs engagés dont des membres des clubs de voile volontaires associés au Laboratoire Plastique de Pamparigouste.
  • Observation participative au sein d’une association engagée dans des actions de « dépollution » permettant de caractériser la manière dont les bénévoles s’approprient les enjeux et les communiquent.
  • Participation aux activités collectives du Laboratoire Plastique dont les séances de travail collectives et aide à l’organisation des conférences marchées scientifiques et artistiques publiques du Bureau de Guides.

Attendus : rédaction d’un mémoire de Master qui viendra alimenter la réflexion collective. La problématique sera affinée avec les encadrants au cours de l’enquête (sur la base d’une revue de littérature et des premiers résultats).

 

Profil recherché :

  • Niveau Master 1 ou préférablement 2 en Sciences Humaines et Sociales (sociologie et anthropologie ou géographie).
  • Compétences : Formation à l’enquête qualitative en sociologie validée par une première expérience sur le terrain (acquise en formation) incluant la transcription, le codage et l’analyse d’entretiens.
  • Connaissances : familiarité avec les questions d’environnement et/ou les sciences participatives et citoyennes.
  • Intérêt pour l’interdisciplinarité : le stagiaire doit démontrer un intérêt marqué pour les échanges interdisciplinaires (et éventuellement une curiosité par la collaboration avec des artistes).
  • Autres : aptitude à travailler en équipe mais aussi en autonomie, goût pour la lecture (Français et Anglais) et la réflexion, mais également travail en plein air.

Le candidat devra impérativement être détenteur d’un permis de conduite B (véhicule de service disponible pour les sorties terrain).

Les frais d’enquête seront pris en charge.

Dédommagement d’environ 550 euros mensuels (contractuel).

Accueil dans un bureau de l’INRAE de Montpellier (UMR G-EAU) équipé avec des outils de bureautiques et accès à la cantine du personnel. Frais de transports locaux gratuits.

Durée : 5 ou 6 mois à compter de mars 2024.

 

Pour toute question ou candidature, merci de contacter Christelle Gramaglia (This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.). Les dossiers (CV et lettre de motivation sont attendus le 27 novembre 2023).

Ce vendredi 17 novembre à 11h, Leo Bire nous a présenté son projet de thèse intitulé « Participation, Simulation, Pouvoir. Comprendre les modalités de circulation du pouvoir à l'oeuvre dans les systèmes d'irrigation au Vietnam ».

Leo débutera sa thèse en sciences sociales/géographie sociale (avec des méthodes interdisciplinaires géographie, anthropologie du développement, sciences de l’informatique) le 1er décembre 2023, sous la direction de Jean-Philippe Venot. Il sera principalement basé au Vietnam à l'université de l'irrigation dans le LMI ACROSS (Advanced Comptuational Research On Sustainability Sciences).

 

bire vietnam web © Photo : Léo Biré

 

 

Résumé : Ce projet de recherche s’intéresse aux systèmes d'irrigation vietnamiens au prisme du « cycle hydro-social » (Budds et al., 2014), c’est-à-dire à travers la manière dont les relations de pouvoir guident les modalités de gouvernance de ces systèmes et la façon dont le pouvoir émerge et circule au sein des catégories d’acteurs qui les composent. Il aborde le thème du pouvoir à travers la gestion participative de la ressource en eau, obligatoire au Vietnam depuis 2004, qui connaît des applications contrastées dans le pays. Ce projet de recherche postule que l’utilisation de jeux sérieux informatisés auprès des acteurs de cette gestion (gestionnaires et irrigants) aiderait à engager le dialogue sur la gestion participative de l’eau, et permettrait la création d'événements propices à l’expression de processus de négociation, autrement difficilement accessibles. La thèse explore donc l’usage des simulations participatives en se situant à l’interface de plusieurs champs de la géographie environnementale, notamment la political ecology, les Socio-Technical System Theories, et certaines logiques propres à l’approche critique de la modélisation d’accompagnement.

 

Contexte et objectifs

En Occitanie, l’eau est une ressource critique pour l’agriculture. Le changement climatique renforce cet état de fait. En permettant de réduire le stress hydrique des cultures, l’irrigation fait partie des moyens d’adaptation possibles et peut constituer un levier important de transition agroécologique. Au sein d’exploitations déjà engagées en agroécologie et irriguées, une meilleure connaissance de la gestion de l’eau et de l’irrigation à l’échelle de l’exploitaiton est nécessaire. Le projet TAI-OC vise à caractériser les systèmes agroécologiques irrigués d’Occitanie, à comprendre les facteurs de la transition agroécologique et à accompagner cette transition.

Le stagiaire aura pour objectif de réaliser un suivi d’irrigation et de variables agronomiques dans des exploitations agroécologiques en Occitanie.

Ce travail permettra, dans le cadre du projet TAI-OC, de réaliser un premier suivi d’irrigation grâce à des capteurs low-techs, d’estimer les potentiels d’amélioration de l’irrigation chez ces agriculteurs afin d’installer un suivi en 2025 chez un plus grand nombre d’agriculteurs. Un deuxième volet du projet s’appuiera sur ces données collectées pour faire des simulations prospectives à l'échelle territoriale.

 

Mots clés : irrigation, low-tech, capteurs, mesures de fiabilité

 

Stage #DigitAg : Ce stage est financé par #DigitAg. Il s'inscrit dans deux axes de #DigitAg : "Capteurs, acquisition et gestion des données" et "Innovations en agriculture numérique". L’étudiant participera à la #DigitAgora, la réunion annuelle de la communauté #DigitAg, qui se déroulera au printemps 2024, ainsi qu’aux activités #DigitAg (ateliers de sensibilisation, journées).

 

Profil recherché (F/H) : Bonnes compétences en agronomie/gestion de l’eau agricole et/ou compétences concernant les nouvelles technologies et l’agriculture de précision. Autonome, ingénieux et bricoleur. Ayant envie de passer une part importante de son temps au champ et à réaliser des entretiens. Permis B obligatoire. Ce stage constituera un tremplin pour les étudiants désirant poursuive dans le secteur de la recherche (doctorat, ingénieur de recherche publique, R&D entreprise) ou de l’ingénierie agronomique et environnementale (bureaux d’études agro-développement, technologie pour l’environnement).

 

Encadrement, lieu d’accueil et conditions matérielles : Ce travail est mené par une équipe de G-eau (C. Leauthaud, D. Leenhardt) spécialisée sur la gestion des ressources en eau, en lien étroit avec des collègues d’autres projets et unités de recherche qui développent les aspects techniques et informatiques liés aux capteurs. L’étudiant travaillera en lien étroit avec notre chargé de projet qui pilotera le suivi expérimental, mais aussi avec une équipe de chercheurs qui apporteront leurs compétences aux moments clés du suivi (plan expérimental, installation, high low-techs, analyse)

 

Durée du stage : 6 mois

Date indicative de début de stage : Février/Mars/Avril 2024

Gratification : selon la grille de #DigitAg

Lieu de stage : UMR G-eau (Site Hydropolis-Lavalette), Montpellier, France

 

Informations et modalités de candidature : Envoyer CV et lettre de motivation, avant le 30 novembre 2023 à : This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it. et This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.

 

Pour plus d'informations : cliquez ici

Contexte et objectifs

La gestion de l’eau par l’irrigation et les pratiques agroécologiques sont rarement pensées de manière conjointe. Le projet IrrigSUST vise à analyser les liens existants entre l'agroécologie et l'irrigation, en s'interrogeant sur le rôle de l'irrigation dans la transition agroécologique de l'agriculture et des systèmes alimentaires. Il s'agit d'un défi scientifique majeur pour évaluer l'impact des transitions agroécologiques des systèmes alimentaires sur les ressources en eau tout en s'adaptant au changement climatique.

Ce stage aura pour objectif principal de décrire les usages de l’eau dans le ZBNF et de comprendre quel est le rôle de l’irrigation dans ces systèmes. Cela se fera par deux sous-objectifs :- Caractériser l’irrigation (cultures, saisons, pilotage, règles de décision) chez un paneld’agriculteurs faisant du natural farming, et réaliser une estimation de la consommation en eauà l’échelle de l’exploitation. Ce travail se fera par enquête auprès d’exploitants agricoles.- Analyser ces résultats au regard des discours et documents de présentation du ZBNF pourmettre en lumière les cohérences et incohérences entre les pratiques réelles des agriculteurs etle regard porté sur ces systèmes par les gestionnaires et chercheurs. Ce travail se fera en lienétroit avec un post-doctorant qui réalisera une analyse de la littérature grise et scientifique.

 

Profil recherché (F/H) :

Étudiant ingénieur agronome avec de bonnes connaissances en agronomie système et gestion de l’eau et compétences en communication . Autonome et ingénieux. Permis B obligatoire

 

Encadrement, lieu d’accueil et conditions matérielles : L’étudiant sera encadré en Inde par L. Ruiz (sur place) et K. Akakpo (une à deux missions prévues pour assister au travail de terrain). L’étudiant sera aussi en lien avec D. Perez, un post-doctorant basé à Montpellier qui assurera le bon déroulement du stage et la mise en cohérence avec les autres activités du projet. C. Leauthaud et D. Leenhardt, coordinatrices du projet, participeront également aux étapes clés et prises de décision majeures concernant les orientations et le déroulement du stage.

 

Durée du stage : 6 mois

 

Date indicative de début de stage :

- Pour un stage M2 : à partir de mai 2024

- Pour une césure : à partir de juillet 2024

 

Gratification : selon la grille du Cirad

 

Lieu de stage : Cellule franco-indienne de recherche en science de l'eau, Bangalore, Inde et longs séjours (chez l’habitant) dans l’état de l’Andra Pradesh pour les phases de terrain (4 mois). Possiblement basé à Montpellier au début et à la fin du stage pour l’analyse bibliographique (2 semaines) et l’écriture du rapport (6 semaines).

 

Informations et modalités de candidature : Envoyer CV et lettre de motivation, avant le 30 novembre 2023 à : This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it. et This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.

 

Pour plus en savoir plus : cliquez ici

Vendredi 08 décembre 2023 à 11h00, Claire Micklethwaite nous a présenté ses travaux intitulés "Qualité et gestion des données : mise en place d’un plan de gestion de données pour la plateforme PRESTI : comment avons-nous réussi à mettre en place des bonnes pratiques concernant la production de données et archiver celles produites précédemment"

 

schema Résumé : La plateforme de PRESTI a récemment été reconnue en tant qu’infrastructure expérimentale et dans ce cadre-là, elle doit commencer à se conformer aux exigences INRAE concernant la sauvegarde des données : que ce soit dans l’archivage mais surtout dans l’enregistrement des données produites récemment. L’objectif, bien qu’il s’agit de valider le statut de IE pour PRESTI, est d’également limiter la perte de données (suite au départ de stagiaires ou de CDD par exemple) et de faciliter la réutilisation de ces dernières.

Mon travail a consisté à faire un inventaire des données existantes, d’amorcer un travail d’archivage et de mettre en place des normes de production et d’enregistrement des données. Toutes ces actions ont été rendues complexes par la grande hétérogénéité des données et le fait que je n’avais pas manipulé une grande partie des données produites (notamment celles des thèses).

En commençant par faire un point sur les exigences d’INRAE par rapport aux objectifs nationaux de science ouverte je parlerai ensuite de ce que j’ai mis en place pour PRESTI :  de la normalisation de la nomenclature, à la création de fichier type and passant par la rédaction des métadonnées, rédaction du plan de gestion de données (PGD)…

La gestion qualitative des données va au-delà des principes de la science ouverte et devient un gage de qualité pour toute plateforme de recherche. J’espère que mon travail pourra aider d’autres plateformes à mettre en place des bonnes pratiques concernant la production des données de recherche… 

Lors du "Vendredi découverte" du 10 novembre 2023 à 11h00, Emeline Hassenforder et Martin Boulay nous ont présenté leur travaux intitulés "Une démarche participative et un jeu de rôle pour débattre d’instruments de gestion des eaux souterraines (Limaoua, Tunisie)" - Emeline Hassenforder, Martin Boulay, Nicolas Faysse, Samia Chrii, Insaf Mekki, Intissar Ferchichi, Ridha Ghoudi, Lassâd Albouchi.

 

hassenforder webRésumé :

Depuis 2020, des chercheurs de G-EAU et de l’INRGREF en Tunisie accompagnent l’émergence d’un collectif d’agriculteurs qui souhaitent créer - avec l’appui de l’administration - une association de co-gestion des eaux souterraines dans la zone de Limaoua (système aquifère Jeffara, gouvernorat de Gabès, sud de la Tunisie). La particularité de cette association est qu’elle vise à gérer à la fois des forages privés et publics. Une seule association de ce type existe à ce jour en Tunisie, créée depuis 2000 à Bsissi oued el akarit, à quelques kilomètres de Limaoua. Les acteurs de Bsissi accompagnent également les agriculteurs de Limaoua en leur partageant les leçons et les limites de leur propre expérience. Pendant 2 ans, l’appui des chercheurs a permis d’identifier les perceptions des différents acteurs sur les problématiques liées aux eaux souterraines dans la zone, de définir des objectifs partagés et d’identifier des actions communes à mettre en œuvre (méthodologie basée sur le « policy design » présentée au vendredi découverte du 17 juin 2022). L’objectif est maintenant d’accompagner le collectif d’agriculteurs à identifier, à tester et à discuter des instruments de gestion qu’ils pourraient mettre en place. Dans cette perspective, un jeu générique a été développé permettant aux participants de choisir, puis de tester et de discuter de différentes combinaisons d’instruments de gestion possibles. Ce jeu s’intitule Ground-WAG-er, en référence à Wat-A-Game. Il a été développé par Martin Boulay (ISTOM) et Sarra Kekli (ESA Mograne), avec l’appui de l’équipe du projet C4S Groundwater (initiative BRIDGE ClimBer, financement CGIAR). Lors de ce vendredi découverte, nous présenterons succinctement la démarche participative mise en œuvre à Limaoua, puis le jeu et ses résultats (à Limaoua et dans 5 autres terrains en Tunisie). Notamment, nous détaillerons dans quelle mesure les combinaisons d’instruments de gestion testées ont été considérées comme pertinentes, faisables et acceptables par les joueurs. Ce terrain sera aussi un des terrains du projet ANR TransWater qui démarrera en 2024.

 

Vidéo du jeu en 13mn : https://youtu.be/2oNe80JRUxk?si=sIbOVULzjZ4Yio-B

Dem eau thauVendredi 20 octobre 2023, Claudine Lamotte et Jean-Christophe Maréchal (BRGM, G-eau) nous ont présenté le projet " Dem’Eaux Thau : une première hydrogéologique mondiale à G-eau - suivi d’un inversac à la source sous-marine de la Vise dans la Lagune de Thau "

 

Résumé : 

L’étang de Thau, situé au sud-ouest de Montpellier, constitue un hydrosystème dont les enjeux de gestion sont particulièrement sensibles : conchyliculture dans l’étang, alimentation en eau potable des communes par l’aquifère karstique superficiel et activités thermales de la station de Balaruc-les-Bains par les venues d’eau souterraine profonde chaude.

La source sous-marine de la Vise, située au fond de l'étang de Thau à une profondeur de 30 m, est le principal exutoire de l’aquifère karstique jurassique régional.

Au cours des cinquante dernières années (de 1967 à 2014), six intrusions ponctuelles d'eau salée (appelées " inversac ") se sont produites, inversant le débit de la source sous-marine pendant une période variant de quelques semaines à quelques mois. Ce processus induit à la source une intrusion d'eau salée dans l'aquifère karstique.

Le projet de recherche Dem’Eaux Thau a été mené depuis 2019 par G-eau et d’autres partenaires académiques, financiers et gestionnaires pour mieux connaître le fonctionnement hydrogéologique de l’aquifère karstique de Thau. Outre d’importantes campagnes de mesures géophysiques, géologiques, géochimiques et hydrogéologiques, la source sous-marine de la Vise a été équipée d’un dispositif d'enregistrement des débits ainsi que de capteurs de suivi de la conductivité électrique et de la température. A terre, à proximité de la source, quatre trois forages de 45 m, 168 m et 700 m de profondeur chacun ont été réalisés à proximité d'un forage thermal existant. Certains d’entre eux sont équipés de capteurs géophysiques.

En novembre 2020, un septième inversac a débuté et été observé en direct avec le nouveau système de surveillance. D'un débit initial d'environ 60 l/s de l'aquifère vers la lagune à travers la source, le débit s'est inversé à environ 350 l/s de la lagune vers l'aquifère en quelques minutes le 28 novembre 2020 à 9h40. Ce reflux instantané a créé une montée soudaine du niveau d'eau d'environ 2,5 mètres dans l'aquifère confiné karstique et a conduit à des inondations dans certains quartiers de la presqu’ile de Balaruc. Cet inversac s’est terminé le 14 mars 2022 après une infiltration de 6.7 millions de m3 d’eau salée correspondant à 220 000 tonnes de sels.

Un mécanisme physique est proposé pour expliquer l'inversion soudaine de l'écoulement et sa longue durée après que l'événement ait commencé. Deux modèles préliminaires (analytique et maillé) de l'aquifère et de ses interactions avec la lagune ont été développés. Ils permettent de comprendre et simuler les principaux processus en jeu. Un outil de prévision du risque d’inversac a été développé pour le SMBT. Des solutions innovantes de lutte contre les effets de l’inversac sont actuellement à l’étude.

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