Thursday, 10 November 2022 19:27

G-EAU a participé à la célébration des 50 ans de la FUNCEME (Fundação Cearense de Meteorologia e Recursos Hídrico), qui est son partenaire privilégié au Brésil.

Saturday, 01 December 2018 18:55

Bien que les inondations urbaines aient été fortement étudiées, les écoulements se produisant entre les rues et les bâtiments sont peu documentés au laboratoire et sur le terrain. Le projet DEUFI doit combler cette lacune en se focalisant sur les processus hydrauliques déterminant l’aléa à l’intérieur et autour des bâtiments et en évaluant comment cette connaissance pourra être utile pour estimer et réduire les dommages et victimes.

Tuesday, 01 March 2022 19:37

Dans les grandes villes, l’urbanisation prend souvent le dessus sur les espaces agricoles périurbains générant une augmentation des phénomènes d’inondation et de l’exposition des enjeux humains et économiques. Dans le contexte du changement climatique, cette stratégie d’occupation des sols apparaît comme non durable.

Monday, 21 November 2022 09:16

Marcel Kuper, Directeur de l'UMR G-EAU, partage son analyse sur l'impact de la sécheresse et la situation de crise que traverse actuellement le Royaume du Maroc.

Thursday, 17 November 2022 16:43

Marcela Brugnach (Professeur au BC3 Bilbao, https://www.bc3research.org/marcela_brugnach), est accueillie à G-Eau comme chercheuse invitée pendant la période 14/11/2022 - 23/12/2022.

Marcela est spécialiste de l’analyse des relations au sein d’un groupe et développe au sein de l’équipe PRECOS et en collaboration avec le Laboratoire d’Economie Expérimentale de Montpellier un protocole pour une expérience sur l'impact des relations dans un groupe sur son management d'une ressource commune comme l’eau.

Friday, 25 November 2022 19:00

Le 25 novembre 2022 à 11h, Martina GARCIA DE CEZAR a présenté ses travaux sur le thème : "Atténuer les îlots de chaleur par une irrigation optimale de la végétation urbaine : approche expérimentale et numérique"

 

Résumé :

Les projections pour l'année 2100 montrent une augmentation potentielle des températures moyennes terrestres de 1.5 à 2°C, accompagnée d'une augmentation de la fréquence et de l'intensité des vagues de chaleur (IPCC 2018). Ces scénarios climatiques appellent à l'adaptation et à la mise en œuvre de solutions permettant la thermorégulation urbaine. Dans ce contexte, la thèse a pour objectif de documenter, analyser et modéliser la capacité des différentes stratégies d'irrigation et de végétalisation urbaines à modifier l'indice de confort thermique (mesure du ressenti, combinant température, humidité de l'air et exposition aux rayons du soleil). On se concentrera sur l'échelle (microclimatique) du canyon urbain, conformément la Figure 1, en abordant également l'échelle inférieure (voisinage immédiat de la végétation) voire l'échelle supérieure (advection des flux dans la ville). On se propose de décrire le système urbain substrat-plante-atmosphère de manière intégrale et explicite : cartographier les flux d’air, de chaleur et d’eau, optimiser l'apport d'eau qui conditionne la réponse des plantes donc l'impact sur l'environnement, en étant un des leviers de la thermorégulation de la ville.

 

Cette caractérisation s’appuiera sur le développement d’une modélisation multi-échelle et d’une étude expérimentale. L’approche numérique est basée sur le couplage bidirectionnel de deux logiciels : Optirrig (UMR G-Eau, modèle de culture et gestion de l’eau) et un modèle de dynamique des fluides (CFD, Computational Fluid Dynamics), algorithme de haute résolution qui permet la modélisation multi-physique (radiatif, thermique, aéraulique). L’approche expérimentale repose sur deux dispositifs pour comprendre les mécanismes et initialiser/valider de l’approche numérique : (i) un pilote de canyon urbain, simple mais équipé de très nombreux capteurs (site de Lavalette, Montpellier, construit dans le cadre de cette thèse) et (ii) sites réels, avec moins d'instrumentation (sites partenaires).

Le modèle couplé construit (conformément la Figure 2) permettra d’aider à la prise de décision en matière de choix de végétalisation des villes, suivant diverses contraintes hydrauliques, thermiques, énergétiques et esthétiques pour contribuer à construire des villes plus résilientes. 

 

fig1 garcia de cezarFigure 1 Exemple de canyon urbain et des éléments qui interagissent dans la zone d'étude (différents types de matériaux et de géométries, échanges thermiques naturels et artificiels et  les conditions microclimatiques locales)

 

 

 

 

fig2 garcia de cezarFigure 2 Schéma du modèle numérique proposé, utilisant le logiciel Optirrig et une logiciel du type CFD

 

Friday, 18 November 2022 18:00

Le 18 novembre 2022 à 11h, Yassine Khardi a présenté ses travaux sur le thème "Les innovations liées à l’irrigation dans les oasis de Todgha - Maroc"

Thursday, 01 September 2022 00:54

En 1932, face à la sécheresse, le gouvernement brésilien crée des camps de concentration pour interner les affamés errants. Joaquim, survivant de ces camps, raconte ce moment dramatique. Ce film a été sélectionné pour le concours ePOP 2022 co-organisé par RFI et l'IRD.

Il est visible à l'adresse suivante : https://www.youtube.com/watch?v=u2kGVMqjQo4

Thursday, 14 October 2021 07:42

Les systèmes agricoles à l’échelle mondiale, et en particulier en Tunisie, sont soumis à plusieurs contraintes d’ordre naturel et anthropique. En réponse à ces contraintes, les pratiques agroécologiques sont parmi les solutions les plus adaptées aux contextes spécifiques des milieux.

Friday, 28 October 2022 13:00

Le 28 octobre 2022 à 11h, Laurent RUIZ, IR INRAE (UMR SAS, Rennes), co-directeur de l’IRP CEFIRSE (Cellule Franco-Indienne de Recherche en Sciences de l’Eau, Indian Institute of Science, Bangalore, Inde), a présenté ses travaux intitulés "Accompagner l’adaptation de l'agriculture irriguée au changement climatique en Inde du Sud".

 

Résumé :

inde ruiz © Forage équipé d’une pompe immergée, Inde du Sud (Crédit M. Sekhar)

 

L'Inde est un cas extrême de la dépendance de l’agriculture à l’irrigation par les eaux souterraines. Un des axes de recherche de la CEFIRSE est d’accompagner l’adaptation de l'agriculture au changement climatique, en combinant des observations long terme pour caractériser et étudier les processus en jeu dans les agro-hydrosystemes, la conception de modèles intégrés et une approche participative pour concevoir et évaluer des scénarios d’adaptation.

L’exposé sera illustré par certains résultats marquants du projet ANR ATCHA (2017-2022), qui s’est attaché à étudier le bassin versant agricole de Berambadi (84 km²; SNO M-Tropics, IR OZCAR) de façon pluridisciplinaire (science du sol, télédétection, hydrologie, géochimie, agronomie, économie, géographie, sociologie). Le projet a en particulier montré que l’augmentation des prélèvements d’eau par les forages agricoles a induit non pas une baisse tendancielle du stock d’eau souterraine, mais plutôt une forte augmentation de ses variations spatiales et temporelles (saisonnières et interannuelles) – et une forte dégradation de sa qualité chimique. Il a également permis de caractériser la grande diversité des adaptations (en particulier l’adaptation des choix de culture) mises en œuvre par les agriculteurs en réponse à l’augmentation de la variabilité de la disponibilité de la ressource en eau.  Le projet a permis de produire une « suite de modèles » prenant en compte ces interactions entre ressource et pratiques agricoles, comprenant des outils heuristiques et des outils d’aide à la décision pour les acteurs partenaires du projet (agriculteurs, décideurs).

Ce cas d’étude illustre la nécessité de dépasser le concept « d’impacts » des activités agricoles sur l’environnement pour considérer les rétroactions gouvernant le fonctionnement des socio-hydrosystèmes.  

 

Venez nombreux !

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