Le 7 mai 2021 à 11h – Pauline BREMOND a présenté ses travaux intitulés : "Frein et succès à l'adaptation aux inondations dans le monde agricole"

 

Résumé :

Les inondations constituent le premier risque naturel en France et les dommages générés sont très importants. Dans le cadre du changement global, il est attendu que les évènements extrêmes s’intensifient et/ou augmentent en fréquence. La vulnérabilité des enjeux agricoles face aux inondations fait l’objet de moins d’attention que celle d’autres enjeux en particulier les enjeux urbains. De fait, ce sont les zones urbaines qui sont principalement visées par toutes les actions de protection.  Certaines zones agricoles peuvent être concernées par le principe de sur-inondation prévu par la loi de 2004. De façon opérationnelle, limiter les conséquences des inondations sur les enjeux agricoles exposés passe par le biais des mesures dites de réduction de la vulnérabilité. Pour les enjeux agricoles, elle vise à limiter les dommages et à favoriser une reprise plus rapide de l’activité économique. Cette politique est d’autant plus importante pour les enjeux agricoles que la couverture assurantielle est faible. L’objectif de notre étude est de réaliser un état des lieux de la mise en œuvre de ces mesures sur le département de l’Hérault et d’analyser les freins et succès de cette mise en œuvre, notamment au regard de l’expérience du Plan Rhône. Nous présenterons des résultats préliminaires du stage que Justine Panégos est en train de réaliser au sein de G-eau (février à Juillet 2021).

Nassim Ait-Mouheb, Chargé de recherche UMR G-EAU-Inrae a installé une plateforme expérimentale de réutilisation des eaux usées pour tester l’irrigation agricole dans l’Hérault.  Il travaille en collaboration avec Marc Heran, Enseignant à l’université de Montpellier, mais également chercheur à l’Institut Européen des Membranes.
 
 
Voir cet entretien paru le 13 mars 2021 dans le journal  "Midi-Libre".

 

 

En raison des évolutions climatiques et de l’accroissement de la population, une pression accrue est exercée sur les ressources en eau souterraine, appelant à une meilleure compréhension écoulements souterrains et à la création de modèles hydrodynamiques plus robustes. Cette thèse porte sur la modélisation hydrogéologique de l'aquifère côtier du Roussillon (sud de la France).

Dans les zones arides, les agriculteurs ont appris à tirer parti des crues et décrues des cours d’eau. Dans la moyenne vallée du fleuve Sénégal, la surface exploitable est incertaine. Quasiment disparue durant les sécheresses des décennies 1970 et 1980, celle-ci a repris du service depuis le milieu des années 1990. Des chercheurs de l’UMR G-EAU et d’universités de la région ont analysé cette surface exploitable après la crue et la capacité de résilience des habitants.

 

Pour en savoir plus sur cette actualité IRD, co-écrite avec JC Poussin, Agronome, consultez les liens suivants :

https://www.ird.fr/le-delicat-equilibre-des-cultures-de-decrue

https://www.facebook.com/IRD.DR.Occitanie

Coup d'envoi du projet Sertões dans le Nordeste ! Financé par AFD France et porté par le Cirad en partenariat avec Funceme, le projet va permettre d'améliorer la gestion de l'eau, la production agricole et la sobriété énergétique. 

Plus d'infos

Contacts :

This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it., Chercheur a usein de l'unité mixte de recherche GEAU (Gestion de l'eau, acteurs, usages)
This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it., Directeur Régional du Cirad pour l'Amérique du Sud

 

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