L’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) est un établissement public de recherche rassemblant une communauté de travail de 12 000 personnes, avec plus de 200 unités de recherche et 42 unités expérimentales implantées dans toute la France. INRAE se positionne parmi les tous premiers leaders mondiaux en sciences agricoles et alimentaires, en sciences du végétal et de l’animal. Ses recherches visent à construire des solutions pour des agricultures multi-performantes, une alimentation de qualité et une gestion durable des ressources et des écosystèmes.

 

VOTRE MISSION ET VOS ACTIVITÉS

L’équipe travaille sur les performances agro-environnementales de l’irrigation. Elle procède à des suivis fins du statut hydrique du sol sous diverses cultures à l’aide de capteurs d’humidité (humidimètre neutronique, sondes capacitives et autres) et de tension en eau du sol.

Les objectifs du stage sont de tester divers capteurs à la fois en laboratoire et au champ.

 

 Vous serez plus particulièrement en charge de :

  • Participer aux travaux de tests de capteurs sol (tension, humidité)
  • Mise en œuvre d’architecture de mesures
  • Mise en place de capteurs aux champs
  • Traitements et analyses des données

 

Conditions particulières d’activité : aptitude au travail au laboratoire et aux champs

 

Pour en savoir plus : https://jobs.inrae.fr/ot-27872https://jobs.inrae.fr/ot-27872

 

LE PROFIL QUE NOUS RECHERCHONS

  • Formation recommandée : BUT mesures physiques
  • Connaissances souhaitées : Electronique, électricité, mécanique
  • Expérience appréciée : dans le champ de la mesure physique

 Modalités d’accueil

  • Unité: G-EAU
  • Code postal + ville : 34000 MONTPELLIER
  • Type de contrat : Stage
  • Durée du contrat : 2 à 4 mois
  • Date d’entrée en fonction : février ou mars 2026
  • Rémunération : environ 600 €/mois
 

 Modalités pour postuler

 Transmettre une lettre de motivation et un CV à :

 Cyril DEJEAN  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

07 85 58 93 95

Et

Claire WITTLING  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

04 67 04 63 12

 !!! Date limite pour postuler : 15/01/2026 !!!

Lors du Vendredi Découverte du vendredi 21 novembre 2025 à 11h00, Tamara Jackson nous a présenté : “Towards sustainable food systems transformation: Managing water related constraints in the Eastern Gangetic Plains of South Asia"
 
Résumé : This presentation will describe work undertaken in the ACIAR-funded Rupantar project which aims to understand and communicate the processes and practices for equitable and sustainable transformation of food systems through livelihood diversification and the enabling environment that helps them go to scale. Water resource constraints in the region include elements of access and availability as well as climate related challenges. The project works to understand the broader energy-irrigation nexus as well as exploring options for irrigation constrained livelihood diversification.

Pour assurer une gestion durable des ressources en eau souterraines, les gestionnaires doivent pouvoir disposer d'une connaissance précise des usagers (notamment agricoles) et des prélèvements qu'ils effectuent. Cette information est en effet indispensable pour concevoir, mettre en œuvre et faire respecter les règles d'allocation, quel que soit l'instrument utilisé (quotas, tarification, marchés de droits d'eau : Montginoul et al., 2016). Elle est aussi nécessaire pour assurer une gestion adaptative (réallocation) qui permette de faire face aux aléas climatiques et économiques.

Pourtant, les gestionnaires connaissent mal les quantités d'eau prélevées dans les nappes notamment par les acteurs agricoles. Les systèmes d'information qu'ils utilisent sont extrêmement frustes, peu précis et peu fiables (Sharple et al, 2020). Ils reposent souvent sur des systèmes déclaratifs, qui fournissent une information agrégée (tant spatialement que temporellement) et difficilement vérifiable. Ces lacunes sont en partie responsables des problèmes de fraude (police de l'eau : Montginoul et al, 2020), d'allocation sous-optimale et d'incapacité à faire face aux situations de crise (sécheresse).

Le développement des technologies numériques offre aujourd'hui des opportunités de modernisation de ces systèmes d'information (Singh et al, 2022; Elshall et al, 2022) qui rendraient à leur tour possible la mise en place de nouveaux modes de gouvernance de la ressource. Ainsi, l'utilisation couplée des compteurs à télérelève, de l'imagerie satellite, de l'intelligence artificielle et des outils de communication (applications smartphones) permettrait d'assurer un suivi en temps réel des prélèvements, rendant ainsi possible la mise en œuvre de nouveaux instruments économiques (tarifications complexes, mécanismes d'allocation optionnelle, marchés de volumes) et de nouvelles modalités de gestion.

Les principaux objectifs de cette thèse sont les suivants :

1 - Montrer comment l'utilisation des nouvelles technologies numériques peut permettre la mise en place de nouvelles modalités de gouvernance de l'eau souterraine, via la production et le partage d'informations en temps réel sur les usages et l'état de la ressource.

2 - Analyser la perception que les parties prenantes peuvent avoir de ces technologies et des scénarios de gouvernance associés, comprendre les causes des oppositions potentielles ainsi que les attentes qu'elles peuvent susciter.

3 - Identifier des mécanismes incitatifs et co-construire avec les parties prenantes des scénarios de mise en œuvre. En évaluer le fonctionnement dans différentes configurations, par le biais de simulations sociales (modélisation multiagents ou autre approche à développer).

Cette thèse s’inscrit dans le projet de recherche collaboratif MOSAIC-Groundwater, financé par l’Agence Nationale de la recherche (2025-2029). Il s’agit d’un projet franco-taiwanais, coordonné par Jean-Daniel Rinaudo (Brgm) et Hwa-Lung Yu (National Taiwan University, NTU).

 

Les interactions entre les eaux de surface (SW) et les eaux souterraines (GW) sont complexes et peu étudiées, bien qu'elles influencent significativement la recharge des nappes et la résilience des cours d'eau. Les conditions hydroclimatiques sont des moteurs essentiels pour ces flux d'eau, mais la pression anthropique a également un impact croissant sur leur évolution. Pour être capables de modéliser correctement les processus qui contrôlent ces interactions, des observations de terrain à haute résolution et sur de longues périodes sont indispensables.

L'objectif de la thèse est d'approfondir la compréhension des relations SW/GW, en examinant leurs variations spatio-temporelles, tant à l’échelle régionale qu’à celle de l’hydrosystème. Le premier axe de recherche se concentrera sur l'identification des facteurs qui expliquent les variations spatiales et temporelles (par une analyse des tendances) des interactions entre cours d’eau et nappes, à l’échelle régionale. Le second axe consistera en une analyse détaillée des processus à l'échelle de plusieurs hydrosystèmes (observatoires), afin de tester et valider des approches de modélisation.

Les résultats de ces travaux fourniront une description des facteurs de contrôle des interactions SW/GW et de leur impact sur la ressource en eau souterraine, en prenant en compte les pressions anthropiques. La thèse s’appuiera sur les réseaux d’observations des bases de données hydroclimatiques publiques nationales à l’échelle régionale et sur le réseau des observatoires OZCAR & Zones Ateliers à l’échelle des hydrosystèmes.

Un partenariat est mis en place dans l’encadrement de la thèse entre 3 unités : UMR G-Eau (BRGM DE/AKS Montpellier – JB Charlier & Y Caballero), BRGM DE/AS Orléans (D Allier), et l’INRAE Riverly de Lyon (E Sauquet).

Cette thèse est financée par le programme Water4All.

 

Mots-clés : Ressources en eau, tendances, hydrologie, approche multi-échelles, observatoires

 !Dans le cadre du projet ANR BlueState, nous proposons un stage de M2 de 6 mois sur le sujet suivant : Qu’est-ce qu’un « juste » partage de l’eau ?

Votre mission consistera à réaliser un travail exploratoire sur la question de l’équité dans la gestion quantitative de l’eau.

Vous serez accueilli.e à partir de mars 2026 au sein de l’Unité Mixte de Recherche G-EAU (Gestion de l’Eau, Acteurs, Usages) à Montpellier.

  • Formation souhaitée : master 2 en science politique, autres sciences sociales, philosophie et/ou en sciences de l’environnement, au cours duquel des connaissances auront été acquises sur les théories de la justice et/ou sur la gestion de l’eau.
  • Compétences souhaitées : capacités d’analyse et de synthèse, compétences rédactionnelles, maîtrise de l’anglais (lecture d’articles et d’ouvrages en anglais).
  • Aptitudes recherchées : rigueur, appétences conceptuelles et théoriques, curiosité, esprit d’initiative

Pour en savoir plus, cliquez ici

 

Pour candidater : 

Envoyer une lettre de motivation et un CV à Sylvain Barone, Pierre-Louis Mayaux et Arnaud Buchs.
Par e-mail :
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!!! Date limite pour candidater : 1er décembre 2025

Lors du Vendredi Découverte du vendredi 07 novembre 2025 à 11h00, Paul Baudron nous a présenté : “Retour d'affectation au Cambodge: Hydrologie et hydrogéologie des plaines alluviales".

 

Résumé : De retour après deux années passées au Cambodge dans le cadre de ma première affectation à l'IRD, je partagerai quelques extraits de nos recherches et activités de formation sur l’hydrologie et l’hydrogéologie des plaines alluviales du Haut-Delta du Mékong. En particulier, autour de la transmission d'outils basés sur l'hydrogéochimie. J’évoquerai aussi la dynamique de la collaboration avec nos partenaires cambodgiens, livrerai quelques premières réflexions issues de mon expérience de travail au Sud… et ponctuerai le tout de quelques images colorées pour voyager un peu ensemble !

Lors du Vendredi Découverte du vendredi 31 octobre 2025 à 11h, Zhi Li nous a présenté "Some recent progress of water rights trading in China"

 
 
Résumé : This talk will give an overview of the national policy on water allocation and the recent progress of water rights trading in China.  Some representative transaction cases will be introduced. Based on our field trips in Ningxia, a pilot province for water rights trading located in the upper stream of the Yellow River, some challenges in the current practice and potential directions for future research on water rights trading will be discussed.

Pierre-Louis Mayaux, Chercheur Cirad, invité à intervenir sur les conflits liés à l’eau.

Evènement international du 20 au 24 octobre 2025, Campus de Bambui au Brésil. Une rencontre franco-brésilienne, une semaine d’échanges autour de l’agriculture et du climat.
Cette rencontre exceptionnelle, organisée par le ministère français de l’Agriculture et le conseiller agricole de l’ambassade de France, a réuni plus de 180 étudiants et une quarantaine de professeurs. Pendant une semaine, lycéens et enseignants français et brésiliens ont partagé leurs expériences et travaillé ensemble sur l’adaptation de l’agriculture au changement climatique.

Au programme : visites d’exploitations, ateliers collaboratifs, présentations d’étudiants et conférences-débats avec des chercheurs.

Lors de cette riche et intéressante rencontre, Pierre-Louis Mayaux a été particulièrement touché de voir des lycéens français – certains prenant l’avion pour la première fois – créer des liens forts avec leurs homologues brésiliens autour de ces enjeux cruciaux .
? Un événement aussi formateur qu’humain, qui devrait se renouveler dans deux ans en France, sous réserve des budgets disponibles.
Pour en savoir plushttps://lnkd.in/ekPusJmt

Dans le contexte des changements globaux, d’amplification des phénomènes extrêmes et d’accroissement de la population, la pression sur les ressources en eau douce augmente. Il est donc essentiel d'explorer les moyens d'améliorer la recharge des nappes phréatiques, pour pouvoir en faire une stratégie d’adaptation. Les mesures naturelles de rétention de l'eau (NWRM en anglais) offrent une série de solutions pour favoriser la recharge naturelle. Néanmoins, des obstacles techniques et sociétaux à la mise en œuvre de ces mesures subsistent (impact sur la qualité de la ressource en eau souterraine, coût de mise en œuvre, acceptabilité par la société). 

La thèse s'organise autour de la question suivante : Quelle est la capacité des NWRM à augmenter la recharge ?  Elle se focalise sur la modélisation hydrodynamique et géochimique comme outil pour l'évaluation de l’impact des NWRMs sur la ressource en eau souterraine. Elle a pour objectif d’explorer l’intérêt de la mise en œuvre de divers types de NWRMs, dans des contextes géographiques et hydrogéologiques théoriques et d’analyser l’évolution de leurs performances face à des projections climatiques futures. Sur la base des résultats de cette analyse, l'efficacité d'une ou plusieurs de ces mesures sera testée sur un cas d'étude réel : l'aquifère de la plaine de la Vistrenque (en contexte climatique méditerranéen), en considérant des scénarios de demande en eau co-construits avec les acteurs du territoire et l’évolution climatique future.

L'encadrement de la thèse est prévu avec une direction au niveau du BRGM (UMR G-Eau) et de l'Université de Nîmes (UPR CHROME).

Cette thèse est financée dans le cadre du projet RECHARGE du programme One Water.

Mots clés : NWRM, aquifère, recharge, modélisation, transport de contaminant

 

 

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